En tant que citoyen·ne :
On fait notre taf d’allié·e : on se documente (livres, podcast, vidéos), on soutient, on participe de la pédagogie pour que celle-ci ne repose pas uniquement sur les personnes concernées (sans oublier d’où on parle), on facilite leur prise de parole, l’accès à leurs récits, on respecte leur besoin d’espaces en non mixité choisie…
On participe à donner de la visibilité aux artistes, notamment sur les réseaux sociaux, car leur audience influence les programmateur·rices.

En tant qu’organisateur·rice d’événements culturels :
On s’assure que notre programmation donne à voir et à entendre notre société dans sa diversité.
On questionne notre pouvoir, et encore mieux : on le partage !
On questionne nos économies, la manière dont le capitalisme dicte nos choix, y compris nos choix de programmation.

En tant qu’artiste :
On peut investir les safe places, et si on a l’énergie pour : on en crée de nouvelles !
On s’empouvoir entre concerné·es. Quelques exemples d’initiatives : Peaches & Wiches, un laboratoire de création musicale en non mixité choisie à Bordeaux porté par l’association La Foudre prend racine, L’incubateur de projets culturels de La Petite à Toulouse qui propose mentorat, formations et accompagnement des personnes vivant des oppressions liées au genre…